my particles (philecca)

and if i need to rearrange my particles, i will, for you

Minuit, dame criminelle, dans les territoires charnels, sous les pavillons, les sangs se gorgent d’alcool et les silhouettes viennent à se confondre, la nuit amène sa fidèle amante, l’ivresse, un manège infernal que Rebecca Parker prend un malin plaisir à orchestrer, les doigts fondant sur les gobelets rouges insolents, les yeux posés sur Philléas Adlane, elle saute de la table où elle dansait, manquant de perdre son équilibre, et les bouteilles tournent autour, les rires éclatent jusqu’à transpercer les murs, son nom traverse la pièce, celui de Philéas avec, est-ce-qu’à partir de ce moment-là, tout était joué?

Les lignes parallèles ne se croisent pas, scientifiquement parlant c’est une proximité calculée, le vide n’est pas à combler, et d’ailleurs qui remettrait en question la position de ces deux éléments. Personne, personne ne le ferait. Si c’était une logique proprement humaine, ça n’avait pas encore été prouvé, et - aux yeux de Rebecca - ils étaient bien trop turbulents, ils finissaient par provoquer des réactions en chaîne, quoiqu’il arrive. C’est pour ça que les gens lisaient leur horoscope la matin, qu’un semblant de stabilité, sur une date, une position astrale, leur sauvait la vie. Rien de tout ça ne traversa la tête de Rebecca Parker ce soir-là, elle ne savait pas non plus qu’elle venait de bousculer le système. 



Non, en fait, elle le laisserait se rompre, et s'écrouler, petit à petit, à la cadence humaine, certes dévastatrice mais-, mais il n’y avait rien dans son champ de vision, sinon les boucles désordonnées de Philéas, sur sa tête, les silences embrassant si bien leurs visages, à tous les deux, la poignée de la porte, qui sous le joug infernal de Rebecca, tournait, avec lenteur.
« T’es déçu, Phil? »

affalé sur l'accoudoir du canapé, un coude inconnu appuyé sur ses cuisses. le plafond du sears hall faisait résonner les échos de rire perdus, de sourire vagabond. des tintements de bières qui font déborder la mousse qui s'écrase sur le sol sans que personne ne bronche. philéas regarde les discussions aller bon train. il tente même pas de participer. hoche la tête quand la demoiselle au coude sauvage semble le regarder pour lui demander son approbation.
gardien du phare. deux prénoms qui surgissent du néant. philéas. rebecca. la lumière s'allume en haut. les pupilles qui reste fixé sur les paroles. laisse becca en dehors du champ de vision. pas besoin de la voir pour l'imaginer tirer la même gueule que lui. un semblant de réaction. philéas il soupire légèrement, plus fatigué par l'effort demandé pour sortir du canapé plutôt que celui de passer sept minutes debout.
sept minutes dans le placard.
sept minutes au paradis.
sept minutes dans le noir.
le bois qui grince sous l'assaut lentement mené par parker. deux corps qui entrent dans l'espace confiné. accompagné de murmures traînant de sombres idées. le noir fond sur leur yeux. les engloutis dans le noir. la lumière essayant de se frayer un chemin par les côtés de la porte. « et toi ? » philéas sentait son bras frotter contre l'épaule de becca. déçu ? non. oui. surement. d'avoir l'impression que tout le monde avait vu. les regards non échangés. les non dits. les paroles pour combler le silence de l'autre. philéas. il pensait tenir le reste des minutes sans parler. mais il a besoin de partager ses observations de la soirée. pas celle qui finiront dans les déchets de ses neurones. celles qui la concerne elle. « j'ai vu tes regards sur la brune. » celle qu'avait empiété sur les genoux de l'anglais. mignonne. baisable. mais philéas, il avait oublié son prénom. pas assez de défi dans le regard. les muscles se détendent, son dos vint rencontrer le fond du placard dans une douceur surprenante. « je sais que t'aurais préféré que ce soit elle. » plutôt que moi. mais tu n'avoueras rien n'est-ce pas ? quoi de mieux de rester dans le brouillard d'un tempête, plutôt qu'éclaircir légèrement les horizons.

you were on the other side,
like always, you could never make your mind,
« Rien m’empêche de te confondre avec elle. » Un mince filet de lumière, cynique et fuyant, vient caresser la chaussure de Beck, les monstres dans le placard sont jamais loin, elle se concentre sur les éclats de voix à l’extérieur, le regarde pas dans les yeux. 
Un regard et c’est un point de vie en moins,
Deux regards et c’est le lancer de dés,
« Pourquoi est-ce-qu’on part du principe que les sept minutes mâcheront tout le travail? » Combien de niveaux manquait-il, Rebecca? Les lattes fondaient sous le poids de leurs silences, ceux qu’elle aimait voir se prolonger, gaspillage des tentatives, des échecs et des réussites imaginées, elle s’adressait à la forme dans le tableau indistinct, et se guidant naturellement au son de sa voix, elle devenait l’un de ces animaux dociles, ou du moins, dans une proximité relative, capables de se tenir, habitués à leur propre insolence, et défaits de toutes les entraves, après quelques verres. 

Il était le personnage, quelques fois riant, extériorisant ses propres faiblesses, avec des gestes qu’il lui destinait sans arriver à destination, et depuis, Rebecca ne lui donnait qu’un prénom; Philéas. 
Lui accorder quoique ce soit de plus, comme le font beaucoup d’entre nous, par besoin naturel la projetterait sur une corde, au dessus du vide, et elle n’était pas - faible. - « Et qui est-ce-que tu voulais? »
Question bouclier, pour ne pas rompre la ligne tracée, à tout moment, potentiellement foulée et dommageable, Rebecca s’enfonça dans les bras amoureux de sa prison, elle sentait les manteaux entassés dans son dos, la surface approximative dans laquelle elle pourrait se réfugier, et malgré tout, elle n’en faisait pas son radeau.

mon cerveau me tend des pièges, me laisse croire que j'ai la solution
mais au fond on est tous les mêmes, on s'fait du mal et on tourne en rond

« à part le manque de boobs, des lèvres moins douces et deux ou trois trucs en plus en bas. » philéas il laisse un léger rire remplir le noir. faut bien combler le vide, ou l'absence de vide. parce que l'anglais il supportera pas les chuchotements indéfiniment. retourner à votre soirée au lieu d'essayer d'écouter le silence, vous autres. doit y en avoir un qui retrouve son cerveau, la musique augmente légèrement. et il se permet de laisses filer un murmure dans l'ombre. « quoi que. pour les lèvres, personne ne s'est jamais plaint. » il est caché dans l'ombre, le début d'un demi-sourire qui pointe sur ses lèvres. la face cachée de la lune. celle qu'on aimerait voir. mais qui reste caché à la vue de toute la population sur terre.
vous avez jamais remarqué à quel point la voix est importante ? on peut facilement mettre un visage dessus dans une discussion. quand l'obscurité l'emporte, la voix qui anime l'ombre, on peut l'imaginer comme on veut. et philéas il s'amuse à imaginer becca avec toute sorte de sourire, de regard, d'étincelles dans les yeux. alors qu'il sent qu'elle n'a pas bougé la tête depuis le début. le son ne va droit dans ses tympans. le son, il bute sur le bois avant de se perdre dans un labyrinthe. et philéas, il veut bien être son fil d'ariane si elle accepte.
à sa question, philéas il hausse les épaules, avant de s'en rendre compte qu'elle ne le verrait pas. « parce que tu te sens invisible, tu penses que tu peux tout te permettre. alors y en a qui test pour voir. » qui s'embrasse, se touche, se taise, raconte des hontes pour se libérer d'un poids. invincible. comme si la réalité avait basculer, hors du temps. l'impression que l'instant leur appartient. que rien ne pourrait détruire la bulle qu'il s'y façonne.

S’il savait que son plus gros dealeur s’occupait d’accrocher des pansements à sa bouche par sécurité, s’il savait ça, il perdait sans doute pas sept minutes fondamentales dans sa vie, hein qui sait Philéas ce qui pourrait se produire en l’espace de sept minutes, est-ce-que les lacets de ses vans risquaient pas de s’entrecroiser avec le coeur d’une fille, ou d’un gars, après tout on est au vingt et unième siècle, tout le monde est au courant des cancers au fond de nos poches, et on est capables de communiquer, hm? Enfin, on est supposés être capables de communiquer, aujourd’hui.



Rebecca semble se découvrir dans le dessin magique, quelques quatre et peut être des deux ont été coloriés pour laisser dévoiler le bas de son ventre et les plis de sa peau, entre le coude et le bras. Elle reste amie, avec la distance de sécurité, parce qu’elle sait, elle sait que tous les accidents franchissent la ligne obligatoirement. « Il faut sept fois soixante secondes, c’est disons- cinq cent secondes, non- en fait. moins. »
Et elle connait bien les mains qui se glissent sous les nuques, à ces heures-là, elles ont tendance à croire, que ça suffira cinq cent et des brouettes, mais entre temps, il y aura la peur panique, ouais parce que si on compte ceux qui se rétractent au dernier moment comme des insectes après la mort, si on compte, ceux qui vomissent sur leur copine, ça réduit fortement l’espace entre la réussite et la défaite. Rebecca décompte les secondes, dans un chuchotement ahuri et infernal, qui semble durer plus que les trente possibilités qu’elle retire à Philéas. « Trente-deux… Qu’est-ce-que tu disais déjà, on se sent invisible, est-ce-que je suis invisible aussi? » La réponse de Beck va avec ses mains qui se glissent sous ses bras, quand elle retire son haut, dégrafe son jean, et les interruptions, il faut compter les interruptions.

« Ah- faut garder ses fringues, faut gagner du temps, j’imagine. » Et comme elle s’est promis, pas de regard en l’air, pas de quoi perdre haleine, elle est pas suspendue dans le vide, après tout, c’est que Philéas; et Philéas n’est pas grand chose.

encore, encore une soirée où la jeunesse France
encore, elle va bien s'amuser dans cet état d'urgence
alors elle va danser, faire semblant d'exister

l'exactitude. « quatre cent vingts secondes enfaite. » il avait pas compté lui. il aurait peut-être du. peut-être qu'il aurait eu un élan de volonté. la plaquer contre le bois, embrasser des lèvres interdites. mais la ligne était infranchissable. insaisissable. mais il lui restait peut-être deux cents grains de sable. comme dix. et il ne serait jamais prêt à prendre ce risque. à avouer ne serait-ce qu'à lui. à elle. à eux, leur public et leur curiosité mal placé. les mains dans le dos, on reste sage. philéas fuyait sous le soleil. mais aussi sous les rayons de lune. ce n'était pas le ciel qui perturbait son climat ambiant. bien autre chose. « comme le commun des mortels à mes yeux. » peut-être un peu moins vu que t'es bonne. mais dans le noir c'est pas crédible de sortir ça. mais il est persuadé. qu'elle en a conscience de ses regards en biais dans les couloirs. de son cerveau qui met ses nerfs oculaires au ralenti pour qu'il puisse apprécier les deux secondes où elle apparaît dans son champ visuel. et à chaque fois, presque, presque ils se croisent. leurs pupilles ne sont jamais alignées, ne regarde jamais l'autre. pas tout à fait. et le manque de ligne de droit, ça à tendance à le perdre.
il acceptera jamais de tourner en rond. de faire une boucle.
on est pas dans looper.
source code.
edge of tomorrow.
prédestination.
ou x-men days of futur past.
même si ça lui donnerait le temps nécessaire pour profiter plus. les deux secondes du presque. ça lui suffit. « dans la logique t'en perds en les gardant. et t'en gagnes en les enlevant. enfin .... ça dépend ce que tu veux faire quoi. » philéas il s’emmêle un peu dans ses mots. la langue qui déraille. il aurait pu faire plus clair. même si c'est compréhensible. heureusement, manquerais plus qu'il doive donner un cours de langue à becca. l'anglais il vient de comprendre qu'il a entendu des bruits de vêtements. pas ceux des manteaux qui composent leur oreiller improvisé. celui plus doux d'un tissu et des muscles qui travaillent pour l'enlever. il tend la main, fouille le vide. tend doucement les doigts à la recherche de chair. de sa chair à elle. il frôle du bout des phalanges la douceur d'une peau inconnue. avant de se retirer dans la seconde immédiate. pas gêné, juste époustouflé. « ah putain. attends .. je pensais pas mais ... t'as enlevé le haut ? faut que je suive le mouvement ou ... ? »

Il la regardait, s’accrocher aux parois de verre, y plaquer ses seins, ses joues, son souffle, se tendre pour tomber dans le vide sans atterrir dans les draps sablonneux, elle l’écoutait sans l’écouter, griffant les contours de ses cuisses, inévitablement pour se débarrasser plus vite de son jean; indépendamment du reste, la musique semblait battre contre la porte comme un coeur à l’agonie, et les cerveaux étaient baignés d'alcool et de déceptions, au fond, personne n'avait le temps de taper, gratter à la porte, personne.

Combien il lui restait de vies, est-ce-qu’elle pouvait encore voir les parcelles rouges et pétantes se distinguer dans le coin de l’écran, elle recule instinctivement quand il la touche, coulé, le paysage se désagrège, Beck manquant de se perdre entre les vestes, les cintres et le fond du placard, le sang de Rebecca Parker bouillait, elle avait la peau chaude et les doigts crispés sur les coutures de son fut, à l’extérieur, elle était de celles qui s’appuyaient contre le palpitant de Philéas Adlane, en oubliant toute autre notion du temps sinon l'articulation fatale entre sa bouche et la sienne, pourtant l’horloge continuait de tourner, presque indistinctement alors qu’elle laissait ses jambes nues se libérer, se débarrassant dans la foulée de ce qui faisait obstacle à la nudité, gardant l'apparat social, qui semble être obligatoire, un peu de décence, Beck, retire pas tout, elle s’approchait. 



Pas en animal effrayé, davantage en proie survivant, se débattant, et quoique manquant de souffle, Beck passait les mains là où elle savait les mettre, elle saisit le garçon à la taille, et le zip caractéristique s’attacha à leurs oreilles, cruellement, Beck tenait au dernier réceptacle de coeur attaché là-haut et elle le laisserait pas se dissoudre même si ça voulait dire se débarrasser des fringues de Phil. « Tu sais la plupart des hommes naissent nus, Harry Potter est pas né avec les lunettes pour ce que ça coûte de le dire, devrais-je dire, quinze secondes de plus? »

no light, no light in your bright blue eyes
i never knew daylight could be so violent
a revelation in the light of day
you can't choose what stays and what fades away

il avait entendu dans un souffle, les tissus s’aplatir sur le sol. et ce n'était pas l'envie qui dévorait son visage. c'était l’indissociable froideur qui ne lui faisait pas défaut. l'obscurité englouti les mouvements, et il l'avait seulement senti proche lorsque ses mains s’approprièrent son bassin. ses doigts frôlèrent son ventre, sentant sa respiration lente lui soulever les poumons. et il avait compris, que si une ampoule apparaissait au plafond, il la trouverait à peine habillé. la fermeture éclair descendu. il n'était pas sûr de vouloir jouer au jeu que becca lui imposait. « t'essayes de prouver quoi ? » un feulement. il peina à ne pas cracher sa surprise. si son but était de l'avoir avant la fin du temps imparti, elle ne réussirait pas le niveau.
le silence d'un mort. leur souffle remplissant le rôle de la musique, remplir le vide. une paire de jambes qui s'avancent sur le sol sans grande discrétion. philéas il essaye d'anticiper le grincement du bois. les mains qui attrape les épaules de becca. on échange de place dans la proximité du placard. « temps écoulé. » les portes d'un royaume oublié s'ouvrent dans son dos. lumière angélique qui projette becca dans son ombre. des murmures s'élèvent, portés par les échos qui se reflètent sur les murs. n'importe quoi pouvait frôler l'imaginaire de ceux qui les regardaient. on essaye toujours de combler les vides ce que l'on n'a pas pu voir. et parfois, les histoires qu'on se racontent sont aussi proches de la vérité que des souvenirs de ceux qui l'ont vécu. philéas se redresse, conscient des regards accrus sur son dos. l'échine qui frémit. sous la colère. moment de flottement où les yeux se rencontrent. il peut enfin la voir. mais il n'apprécie pas ce qu'il voit. son t-shirt retiré pour le faire enfiler presque de force à la demoiselle. il n'allait pas la laisser montrer autant de chair. philéas le supporterait pas. de la laisser se dévoiler en pleine conscience. pour prouver quoi au final ? il était sur de rien. ne le serait jamais avec elle. il s'éloigne d'un pas, la regarde haut en bas. les lèvres retroussés par l'humeur. « fais en ce que tu veux. » du t-shirt. le crocodile était réveillé. et il ne chassera pas une proie aussi facile.
les regards qu'il n'a pas envie de croiser. les paroles qu'il n'a pas envie d'entendre. sa bière qui l'attend rejoint ses lèvres, alors que ses pas le dirige vers les dortoirs sans un regard en arrière.

On dit que le boss final d’une partie fait frémir les plus intrépides d’entre nous, de rage, d’anxiété, de fatigue ou d’excès, et dans la noirceur se débattant entre leurs deux corps, le monstre imperturbable semblait s’agiter autant que leurs deux organes traitres voulaient les voir rompre le contrat des sept minutes. Malgré toute sa volonté, Beck ne ressentit ni la faim dévorante qu’elle aurait dû avoir pour Philéas Adlane, ni l’envie irrépressible de le faire glisser sous sa peau. A la place elle s’abandonna à la poigne du Sears sans se débattre, force qu’elle ne repoussait pas, ignorant son addiction pour le contrôle, elle savait où se trouvait sa place.

Et c’était pas avec Adlane, elle remplacerait pas la bouteille qui embrasait l’instant d’après sa figure, sans fougue ni passion, simple réaction après action, Beck jeta un oeil à ce qu’elle avait sur le dos, elle se baissa pour attraper ses fringues sans broncher, ignorant le GAME OVER gigantesque qui se dressa par la suite dans la pièce. Elle attendit pas que les murmures redescendent, deux gars bourrés se bousculèrent pour atterrir dans le placard maudit et fermer brusquement la porte, elle sursauta et dans le défilement attendu des crédits de fin, elle pouvait voir Philéas se glisser entre les corps, et échapper - au dédale de sbires, sans doute mélange de pensées et de bière tiède, aromatisée, un mauvais alliage dans tous les cas. -

« …ce que je redoutais Phil. »

Rebecca chercha la fille des yeux, la fameuse fille des sept minutes avant, oubliant ce qui venait de lui échapper, sautillant pour faire fondre le jean sur ses hanches, mais elle ne la trouvait pas. En revanche elle laissait grimper un sourire tout le long de sa face, elle ignorait ce qui lui plaisait réellement, la retenue illicite des sensations, ou, l’impression de descente imminente vers les enfers pour avoir attisé les flammes dormantes des garçons, et des filles. Beck devrait savoir que les habitudes, bonnes ou mauvaises ont la peau dure, et le sang chaud.