Ever true to Brown !
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 her mind was like early spring. (jona)

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MessageSujet: Re: her mind was like early spring. (jona)   her mind was like early spring. (jona) - Page 2 EmptyJeu 3 Mai - 20:40




Troublé, c'est le terme qui te définit à cet instant. Tu contemples, caresses, dévisages son corps qui vient de se mettre à nu pour toi. Tu te contiens, avec difficulté, tu l'avoues. Fais ce que tu veux de moi. Tu te dois d'exécuter sans plus attendre. Tes mains donnent un mouvement au niveau de ses hanches la faisant venir au plus près de toi réchauffant ton corps. Elle t'offre un baiser profond, sensuel, fougueux que tu lui rends sans te laisser prier. Comme elle a pu te le dire plus tôt dans la soirée, il est tant pour toi de lui montrer ce dont tu es capable. Des mois que tu n'as pas embrassé, touché une femme, des mois que tu n'as pas eu une femme nue dans tes bras. Une appréhension sur tes compétences se glisse dans ton esprit, mais ne t'arrête pas pour autant. Tu es bouleversé par ces émotions inconnues qui prennent possession de ton corps. Le feu dans les veines, tu ne réfléchis plus, tu agis vous laissant porter sur le divan. Tes mains, posées sur ses clavicules, descendent le long de son corps, se baladent avant d'arriver au dernier bout de tissu présent sur elle. Tes doigts s'agrippent dessus, le fait glisser jusqu'à ce qu'il finisse, sur le sol, avec le reste de vos vêtements. Visage au niveau de ses jambes, tu déposes tes lèvres, ton souffle chaud sur cette peau aussi douce que de la soie. Tu remontes petit à petit, avec sensualité, jusqu'à sa poitrine. Tu lui fais de l'effet. Tu sens la fragilité. Ca te fait sourire. D'un geste, ta ceinture est retirée par ses soins, elle ne met que quelques secondes pour retirer le bouton de ton jean le laissant descendre à son tour, caleçon accrocher avec, te retrouvant maintenant nu devant elle. Tu observes les traits de son visage voulant connaître ses pensées. Ses jambes s'entourent une nouvelle fois contre ton bassin, te portent contre elle. Elle t'embrasse, te mord la lèvre, te montre son envie. Tu ne mets pas longtemps avant de commencer à lui donner du plaisir. Tes mains se mêlent aux siennes d'un geste brusque. Vos doigts s'entrelacent, se serrent, donnent - d'un côté comme de l'autre - plus de pressions s'harmonisant aux mouvements de vos corps. Tu caresses sa peau du bout des lèvres, tu murmures des mots doux à son oreille, tu lui donnes de la douceur, un moment de répit. Qu'elle croit. Instants plus intenses, tu dévores chaque parcelle de son corps. Tu aimes jouer à ce petit jeu. Tu lui mordilles la peau, les lèvres atténues les marques que tu peux laisser. Tu laisses s'échapper quelques gémissements de bien-être. Des frissons parcourent ton corps quand elle prononce ton nom, te griffe. Tu fais durer le plaisir, tu n'as pas envie que ça s'arrête, tu pourrais faire ça toute la nuit, jusqu'au dernier souffle. L'un après l'autre, vous vous donnez du plaisir, vous vous offrez des sensations particulières, inédites pour toi. Ce que tu ne pensais pas encore possible. Cette union, ce lien, qui est né ce soir, te fais renaître de tes cendres.

Ton corps a pris place à côté du sien, tu reprends ton souffle. Elle vient, se blottit contre toi. Tu la serres doucement dans tes bras qui finissent par l'entourer. Tu déposes un baiser sur son front et ferme les yeux. Sa main sur ton torse, ses doigts caressent ta peau. Tes doigts caressent son dos, l'index suit les courbes de son corps. Ca t’apaise, te fait retrouver une respiration régulière. Tes jambes caressent les siennes. Le silence est roi. Une main sur son menton, tu fais venir son visage en ta direction. Tu la fixes du regard. Tes yeux brillent en la regardant. « Je te promets que je ne réserve pas le même accueil à toutes les nouvelles recrus de Brown » Tu te mets à rire, elle aussi.
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MessageSujet: Re: her mind was like early spring. (jona)   her mind was like early spring. (jona) - Page 2 EmptyVen 4 Mai - 22:14

tu ne t'étais jamais sentie aussi sensuelle et aussi femme qu'en ce moment même. la douceur de ses caresses, mêlée à une étreinte féroce, vorace, animale. laissant place à ta passion, laissant aussi s'exprimer la sienne, vos corps se laissent bouger, extériorisant finalement le désir qui était graduellement monté tout au long de la soirée. alors qu'il caressait ta peau enflammée de ses mains, chaque parcelle de ton corps se réveillait un peu plus encore, t'obligeant à relâcher la tension par des soupirs, de temps en temps. les frissons ressentis, le désir qui grandit, la peur qui t'envahit. jamais n'avais-tu connu de relation aussi saine, qui paraissait presque sincère. tu avais peur de mal-faire. et alors qu'il te déshabillait de ce dernier bout de tissus qui te séparait de l'état naturel, tu paniquais presque. une panique binaire, mélangeant peur et excitation de l'inconnu dans un même sentiment que tu n'aurais pas pu définir. alors que tu es là, nue devant ses grands yeux bleu, il se décide à poser sur toi ses lèvres brûlantes, luisantes. tu frisonnes. tu soupires. tu ne sais plus comment réagir. les pensées s'agitent. et alors qu'il remonte doucement, surement, embrassant la peau fine de tes seins, tu ne peux t'empêcher de coller ton corps au sien. un besoin. dans un élan de fougue, tu agrippes sa ceinture, que tu lui arraches d'un coup sec, la faisant claquer dans l'air. quelques mouvements de tes doigts -évidemment, ses derniers n'ayant pas voulu se coordonner comme il se devait, tu avais du t'y reprendre à deux fois, arrachant un sourire à ton compagnon- pour lui faire tomber les quelques vêtements qui lui restaient sur le corps. vous étiez désormais à égalité. tu en profitais pour prendre un peu de retrait et admirer. il ne décrochait pas le regard de ton visage, tu le sentais. mais toi, tu préférais étudier son anatomie sous tous ses angles. il te faisait penser à une oeuvre d'art. imparfaite, peut être. tu ne pouvais te prononcer objectivement. mais impressionnante, surement. il ne t'en fallut pas plus pour retourner t'acharner sur ses lèvres. lorsque ta fougue prend le dessus, tu as du mal à contrôler tes actes. alors, pour évacuer la passion, tu mords, tu agrippes, tu griffes. qui aurait pu croire, en te voyant donner tes cours en amphithéâtre, qu'une chose aussi agressive sommeillait en toi. et tu ne mets pas longtemps à soupirer de plaisir face à ses sensations inédites. vos lèvres sont tantôt scellées, tantôt là, à s'effleurer, vous laissant ainsi le délice de soupirer à votre guise. des mouvements saccadées, puissants, cohérents qui font vriller tes sens. alors que vos doigts s'enlacent, se serrent et se maintiennent, il utilise tous les moyens à sa disposition pour te faire dérailler. et il y arrive avec un brio alarmant. mais tant pis, ce soir, tu le laisserais gagner. ce soir, tu abdiquais, sous les coups d'un rein d'un homme avisé. et alors qu'il te fait l'ultime plaisir de te laisser un moment de répit, te laissant reprendre tes esprits, ton souffle, il continuait à te faire chavirer par ses dires. des mots, susurraient au creux de l'oreille, qui remettent tes sens en selle. tant mieux, car il ne semblait pas en avoir fini avec toi. et dans un manège magnifique, vous aviez continué à vous faire gémir encore un bout de la nuit. jusqu'à ce que l'extase atteigne son paroxysme, et que la fatigue se fasse ressentir. vous vous allongiez alors l'un à coté de l'autre, reprenant votre souffle. rigolant aussi, par moment, lorsque vos regards se croisaient. vous l'aviez fait. vous aviez brisé les codes que vous vous étiez imposés depuis toutes ses années. toutes les règles avaient été enfreintes. de la plus simple à la plus complexe. et pourtant, vous ne le regrettiez pas. c'était même, peut être, la meilleure chose que tu avais faite depuis des années. alors que vos souffles se régularisaient enfin, tu osais t'approcher de lui, poser ta tête sur son torse, posant ton oreille sur lui, écoutant son coeur battre avec minutie. les baisers, les carresses, tout ce qu'il te prodiguait était comme une pommade qu'il étalait sur chacune de tes cicatrices invisibles. il ne se rendait surement pas compte du bien qu'il te faisait. et au final, il attrape ton visage, t'incitant à relever les yeux sur lui. sur ses yeux bleus magnifiques. instinctivement, tu ne peux t'empecher de sourire. peut être était-ce les hormones post-coïtales qui te rendaient niaise à ce point, mais cela te plaisait. de retrouver un semblant de plénitude profonde, intense. cela faisait longtemps. je te promets que je ne réserve pas le même accueil à toutes les nouvelles recrues de brown. et tu éclatais de rire. un rire simple et franc. un rire humain, tout simplement. tu approchais ton visage du sien, posais doucement ses lèvres sur les siennes, en une pression constante. j'aurais pu difficilement rêver d'une meilleure façon pour fêter cette titularisation. tu deposais un nouveau baiser au coin de ses lèvres, passant l'une de tes mains sur son visage, caressant chacun de ses traits. et dommage pour les nouvelles recrues.. elles ne savent pas ce qu'elle rate. tu souriais. posant ton menton sur son torse, tu fis glisser tes doigts sur son cou, son torse, jouant avec les formes de chacun de ses muscles. suivant le tracé fin jusqu'à l'épaule, revenant sur ton trapèze. promets-moi que cela ne changera pas la relation que nous entretenons. je veux dire, je ne souhaiterais pas que cela tendent nos échanges. et tu souriais, te relevais, pour l'enjamber et prendre son visage entre tes doigts. sauf si cela implique de recommencer.. tu aurais pu le tenir éveiller ainsi toute la nuit. mais au final, le sexe n'était pas la seule chose qui vous unissait. tu avais appris à le connaitre, appris à le sonder, appris à l'anticiper. et tandis que tu l'embrassais avec douceur, jouant avec quelques unes de ses mèches, tu ne pouvais retenir ce sourire qui traversait ton visage. c'était donc ça, la sérénité.
tu pourrais facilement t'y accoutumer.
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MessageSujet: Re: her mind was like early spring. (jona)   her mind was like early spring. (jona) - Page 2 EmptySam 5 Mai - 22:53



Tu caresses son visage qui se place sur ton torse. La main qui part placer une mèche derrière son oreille, tu l'écoutes avec attention. Promets-moi que cela ne changera pas la relation que nous entretenons. Je veux dire, je ne souhaiterais pas que cela tendent nos échanges. Tu secoues avec légèreté la tête lui faisant comprendre que toi non plus tu ne souhaites pas ça. Tu caresses son épaule, son dos et lui souris. « Je te le promets ! » Voix douce, sereine, tu es sincère. Tu veux la rassurer, lui montrer que toi aussi tu ne veux pas que ça change votre relation. Certes, elle a bien évolué ce soir, mais peu importe ce qu'il se passera par la suite, tu sais qu'il y aura toujours ce lien fort entre vous. Toutes ses années ne peuvent être balayées par cette envie, cette pulsion qui vous a fait vous découvrir d'une nouvelle façon. Sauf si cela implique de recommencer.. Tu laisses s'échapper un petit rire et caresse ses cuisses du bout des doigts. Tu remontes tes mains en direction de son joli minois, chacune d'elle posée sur une joue. Tu plonges ton regard dans le sien, les traits de ton visage se durcissent te donnant un air sérieux. « Ok ! Je marche. » Ton cœur s'emballe après ces quelques mots qui en disent long sur tes envies à son égard. Malgré tes paroles sincères, tu ne peux t'empêcher d'avoir des craintes, d'avoir peur. Tu n'as pas eu beaucoup de femmes dans ta vie, mais chaque relation t'a causée de terribles souffrances, des blessures profondes que tu ne veux plus vivre. Tu te l'étais promis, d'où se retrait total auprès de la gent féminine. Pourtant, quand elle te regarde, quand elle t'embrasse, qu'elle te caresse, tu oublies cette promesse. Elle t'embrasse, tu lui rends le baiser et fais durer le moment. Elle finit par se blottir de nouveau contre toi, tête enfuit dans le creux de ton cou. Tu fermes les yeux, tu te sens apaisé. Ces caresses te décontractent, te reposent l'esprit. Tu t'endors.
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