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 Be my cocaine, be my rehab

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MessageSujet: Re: Be my cocaine, be my rehab   Be my cocaine, be my rehab - Page 2 EmptyMer 16 Mai - 22:42

♛ You and me

▼▲▼



Elle le soutenait du regard cherchant à comprendre ses sentiments à son égard. Comment est-ce que Benjamin avait-il pût prendre une si grande place dans son cœur ? Et si cela avait toujours été le cas, mais que tu avais préférée croire que tout ceci n'était qu'un simple jeu de séduction ? Elena avait beau essayer de comprendre tout cela, mais n'y arrivait pas. Il lui fut alors bien difficile de reprendre ses esprits. L'italienne avait pourtant déjà aimée un homme avec lequel, elle eut une forte relation. Intense et dangereuse sur bien des points. Ce qui en était que plus exaltant. Mais ce n'était rien à côté de ce qu'elle ressentait pour Benjamin. Il n'était pas qu'un bel homme pouvant avoir n'importe quelles femmes sur terre en un claquement de doigt. Il n'était pas qu'un Chapin à la réputation de prêter beaucoup d'attention à leur apparence où d'être populaire. Ben était aussi bien plus que ce qu'il ne laissait paraître. Il était un esprit libre, insouciant, sympathique, franc, dire et étant fidèle à se en qu'il croyait, pour peu, qu'il vous laissait le connaître. Comme l'italienne le connaissait. Du moins, le peu qu'il voulait lui montrer. Pour toutes ces raisons, Elena savait qu'elle ne pouvait le lui en demander plus que cette relation et qu'elle ne le méritait aucunement. Oh non ! Benjamin méritai tellement plus qu'être avec une femme mille fois mieux, qu'elle. Sans famille jouant un rôle important dans le crime organisé. Sans problème et tendance à l'autodestruction. Elena ne le savait que trop bien et c'est ce qu'il lui faisait certainement le plus de mal, en plus, de l'imaginer avec une autre femme à ses côtés. C'était comme si... On lui plantait continuellement un couteau dans le cœur. Elena garda néanmoins une certaine maîtrise d'elle-même. L'observant silencieusement. Elle n'avait pas besoin de lui parler, pour qu'il sache quand elle allait bien où pas bien. Il avait toujours sût lire en elle. La raison pour laquelle le brune ne laissa paraître aucun sentiment amoureux dans ses yeux. Restant ainsi cette femme qu'il avait toujours connue. Qu'il connaîtrait toujours. Cette femme qui prônait fièrement les relations sans attache et sans prise de tête. Accumulant les liaisons d'une où deux nuits. Rarement plus souvent. C'était ce qu'il lui convenait le mieux... Jusqu'à ce soir. Mais tout était différent avec lui. Elena revenait toujours d'une manière où d'une autre, vers lui. En amis, fêtard où encore en amant. Elle revenait toujours vers lui. C'était à se demander si leur relation n'était pas quelque peu magnétique. L'un revenant toujours vers l'autre, et vice-versa. Il n'y avait que des bons moments en sa compagnie. Aucun homme n'arrivait à égarer ses moments passés avec lui. Il n'y en avait pas non plus deux comme lui, elle en était bien consciente. Ainsi, Elena venait toujours à savourée chaque petit moment passés auprès de lui. Benjamin était l'unique personne sachant lui faire décrocher un rire où la rendre pétillante de vie.

[…]




[…]


Elena lui rendit doucement son baiser en posant délicatement sa main sur sa joue, puis plongea son regard dans le siens. Souriant de la façon dont il l'observait en caressant doucement sa joue, puis l'écouta attentivement. « Je t.... » Il quoi ? Se répéta-t-elle sans cesse tel un disque rayé. Ne comprenait pas ce qu'il voulait dire par là où plutôt...Ne voulait y croire ! Elena l'observa attentivement attendant des réponses de sa part. Voulant qu'il le lui redise encore une fois, rien qu'une petite fois... Elle voulait tellement croire que c'était ses : deux mots, sept lettres, trois syllabes... Elle avait tant besoin de lui et de son amour, si tel était le cas. Elle l'observa alors avec des étoiles dans les yeux. « Moi aussi, je t'aim...» dit-elle d'une voix douce. Elle en tremblait. Elena n'était pas habituée à se livrer ainsi à quelqu'un. Cela ne lui ressemblait en rien. Mais ce quelqu'un n'était pas n'importe qui à ses yeux ! C'était Benjamin. L'homme dont elle était doucement puis violemment tomber amoureuse. Étant alors prête à tirer un trait sur la manière dont elle était avec les hommes. Était prête à tirer un trait sur son passé et ses nombreux problèmes. Elle était prête à absolument tout par amour pour lui. Mais qu'en était-il pour lui ? L'aimait-il vraiment où la désirait-il simplement ? Était-il prêt à oublier ses conquêtes pour elle ? Était-il prêt à découvrir la Lena avait laquelle il aimait tant passer du temps ? Elena n'en savais rien... Si ce n'est que la balle était dans son camp, à lui décider ce qu'il voulait en faire avec. L'italienne lâcha doucement sa main de la sienne, puis son regard du siens, puis le lâcha doucement du regard. Elle baissa doucement la tête vers le sol en espérant tant, qu'il lui dise ses deux mots. Deux mots qui pouvaient changer à jamais leur vie. Quand elle entendit soudain Benjamin prendre la parole. Ses propos n'avaient rien à voir avec ce qu'elle rêvait d'entendre... Elle releva doucement la tête, l'observant les larmes aux yeux. Elle ne pleurait habituellement pas pour un homme. Mais ce soit c'est bel et bien, ce qu'elle fait... Elle aurait alors aimé lui répondre à ses questions, mais elle était bien trop effondrée pour cela. Qu'est-ce qu'elle croyait ? Elle savait à quoi s'en tenir avec lui... Elle avait toujours sût...C'était le deal... Leur deal. Mais elle avait été bien trop sotte pour croire que cela aurait pût changer. Elena lui tourna alors le dos et s'arrêta quelques instants, pour essuyer les larmes qui coulaient sur ses joues. Soupirant longuement. Elle prit ses vêtements et les enfilas le plus rapidement possible. Elle s'était livrée à lui par leur acte et en lui disant ce qu'elle ressentait pour lui. Mais il en fût autrement. Une fois habillée, Elena revint vers lui et l'observa longuement dans les yeux en restant des plus silencieuses. Essayant alors de se faire violence pour ne pas pleurer devant lui. Elle ne voulait pas lui infliger cela. Le spectacle en lui-même, lui suffisait amplement. Elle essuya alors ses joues en l'observant attentivement « Je ne veux ni verre, ni danse, ni que tu me montres l'étendue de ton talent. Pas cette fois....Pas maintenant... » elle l'embrassa une dernière fois. Ce baiser ce voulant un peu plus long que les autres. « Maintenant, tu sais ce dont j'ai envie ! » dit-elle en s'éloignant peu à peu de lui, petit pas à petit pas sans pour autant quitter la pièce....

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Dernière édition par Elena Di Mascio le Jeu 17 Mai - 9:50, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Be my cocaine, be my rehab   Be my cocaine, be my rehab - Page 2 EmptyJeu 17 Mai - 7:39



Be my cocaine, be my rehab

Il avait passé tout près de faire une gaffe monumentale. Il ne savait pas pourquoi, d’ailleurs. Pourquoi ces mots avaient-il chercher à se faufiler, s’échapper de sa bouche? Il savait pourtant que ces mots étaient interdits. Il ne comprenait pas cependant pourquoi c’était venu ainsi à lui. Il n’avait pas le temps d’y penser, il devait se sortir de ce pétrin. Déjà, il avait réussi juste à temps de s’en sauver. Il s’était rescapé en riant. Était-ce suffisant? Il avait peur qu’elle ait compris, malgré qu’il n’ait pas fini de prononcer toutes les syllabes. Il était terrorisé, mais ne le montrait pas. Ça n’avait aucun sens. Il avait été le premier à les énumérer, ces règles. Il allait de soi qu’il soit le premier à les suivre. Tomber amoureux était la première et la plus primordiale de toutes. Il ne pouvait pas se faire subir cela et il ne pouvait pas non plus le lui infliger à elle. C’était impossible. C’était détruire leur jeu; leur soi-disant relation. Il avait cette envie de se frapper le crâne, question de lui remettre les idées en place. Il s’en voulait et restait perplexe. Parce que oui, il n’avait pas halluciné. Il l’avait entendu de sa bouche à elle… Ce fameux « Moi aussi, je t’aim… » Il était dans la merde. C’était du moins ce qu’il se disait. Il avait cru voir quelque chose dans ses yeux; une lueur qu’il redoutait. Elle y avait cru. Et pire encore, elle semblait l’avoir espéré venant de lui. Il avait remarqué la déception sur son visage, quitte la tristesse. Le cœur du garçon s’était arrêté, un coup poignant qui venait de le heurter de plein fouet. Il ressentit la douleur, intense et fracassante dans sa poitrine. Il venait de la blesser…

Il avait perçu des larmes dans les yeux de l’italienne. Il espérait avoir mal interprété, mais il était certain de ce qu’il avait vu. Il venait de perdre le contrôle. Tout se passait si bien jusqu’à ce fâcheux incident de sa part. L’envie de reculer le temps de quelques secondes n’avait jamais été aussi forte. Certes, il aimait Elena Di Mascio. Tout comme on aimait ses amis, non? C’était ce qu’il croyait. Il ne tombait pas facilement amoureux, voire qu’il ne s’autorisait pas à le faire. Il n’avait pas de temps à consacrer à une copine. Pas l’envie non plus. Il le savait déjà d’avance… Il était destiné à lui faire du mal s’il acceptait d’outrepasser la première règle. Il tenait beaucoup trop à elle pour s’autoriser à le faire. Si seulement elle savait. Et pourtant, il avait l’impression que le mal était déjà fait. En effet, elle s’était beaucoup trop rapidement levée, puis rhabillée. Il ne pouvait faire autrement que de la regarder faire, légèrement perdu. Il cherchait les bons mots à dire, la bonne action à poser. Or, il s’était relevé telle une fusée et s’était dépêcher à ramasser ses vêtements pour les enfiler à son tour. Et c’est là qu’elle répondit à sa tentative de rattrapage stupide. Il s’en voulait davantage, se traitant d’imbécile. D’ailleurs, il ne s’était pas du tout attendu à recevoir ces paroles comme une violente gifle. Car oui, c'était une coup à la figure qu'il venait de recevoir. Venant d'elle, s'en était que plus douloureux. En fait, il ne s’était jamais imaginé vivre une telle scène avec Elena. Il devait donc avouer qu’il était complètement sonné. Pourquoi déjà en étaient-ils arrivés là? C’était à son tour d’être blessé. Et pourtant il ne lui en voulait pas. Il n’avait pas ce droit-là. Parce que cette situation-là, c’était de sa faute. Il avait engendré tout ça.

Elle venait de l’embrasser et pourtant ses larmes coulaient sur ses joues. Benjamin sentait son ventre se nouer. Il n’était pas bien. Et ce baiser, il avait de la difficulté à l’accepter parce qu’il ne s’en sentait plus digne. Ce petit jeu qui était le leur venait de lui exploser en pleine figure. Elle n’avait cependant pas quitté la pièce, mais il y avait cette distance qui les séparaient. Il était resté là, immobile à la fixer. On pouvait lire son incompréhension sur son visage, mais aussi sa détresse. « Je ne comprends pas… » Il ignorait s’il devait s’approcher d’elle. Devait-il s’excuser? Mais s’excuser pourquoi? Techniquement, il n’avait rien dit de mal. Du moins, il n’avait rien compléter qui aurait pu être mal. Il laissa échapper un soupir, une main sur le visage. Il se sentait complètement perdu, dans une impasse. Devait-il renchérir ou tout simplement se résigner?  « Tu veux donc rentrer chez toi, si je comprends bien? » Il avait passé sa main dans ses cheveux, les ébouriffants au passage. C’était bien cela qu’elle voulait? Terminer la soirée sur cette note, laisser cette distance entre eux, ce problème étrange les ronger ? Était-ce seulement une question de temps? Il commençait à ressentir cette impatience en lui. Une certaine frustration qu’il chercha à dissimuler. Ce genre de situation, c’était ce qu’il détestait le plus. Il les avait en horreur. L’une des principales raisons pour laquelle il ne s’éternisait pas avec la même fille habituellement.

Il en avait déjà mal au crâne à force de chercher une solution. Tout ce à quoi il pensait n’allait qu’empirer son cas. Et du coup, il n’avait qu’une envie et c’était de quitter cet endroit au plus vite. Mais c’était Elena qui était là devant lui. Elle n’était pas n’importe quelle autre fille à ses yeux. Elle méritait plus de respect que cela et il n’avait pas envie de laisser cette distance entre eux s’agrandir, voire d’exister. « Quel est le problème, je peux savoir? » Il en était conscient, il n’était pas fier, mais ses paroles étaient plus rapides que ses pensées sur ce coup. Connard… C’était le premier mot qui lui venait à l’esprit. En effet, il se disait qu’elle pouvait bien le gifler pour vrai sur ce coup. Elle aurait bien raison de le faire. Et si elle le faisait, il ne comptait pas se défendre. Au contraire, il aurait bien aimé recevoir cette gifle de sa part. Il l’avait plus que mérité.



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MessageSujet: Re: Be my cocaine, be my rehab   Be my cocaine, be my rehab - Page 2 EmptySam 19 Mai - 3:31

♛ You and me

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Ce soir, Elena c'était livré corps et âmes à Benjamin. Comme elle ne l'avait pas fait depuis longtemps, avec quelqu'un. La dernière fois remontait à il y a trois ans de cela et ce fut sa seule relation sérieuse. Mais tout était différent cette fois-ci. Elle avait toujours entretenu avec lui, une relation charnelle passionnelle, fougueuse, intense, puissante et simple. Dans la mesure où chacun d'entre eux ne voulait aucunement s'engager. Leur liaison étant basée sur un contrant sur lequel était stipulée ; ne jamais avoir des sentiments pour son partenaire ! La brune le savait. Elle l'avait toujours sût et fit en sorte que cela n'arrive pas. Mais elle s'était voilée la face depuis bien trop longtemps et c'était rendu peu à peu compte à qu'elle point, elle en était éperdument tombée amoureuse. Elena c'était lors livrée à Benjamin en lui déclarant sa flamme. Néanmoins, celui-ci c'était contenté de la repousser en détournant son « je t'... » par de simples questions. Ce qui lui fit énormément de mal. Comment pouvait-il agir de la sorte après lui avoir dit ses trois mots dont il leur était pourtant interdit d'en parler. Il le savait et l'avait pourtant fait ! Il en avait même joué en l'ayant fait espérer. En pensant alors qu'ils ressentaient tout deux des sentiments l'un pour l'autre. De ce fait, Elena avait jugée bon de lui avouer ses sentiments à son tour. Mais cela en fut malheureusement autrement de sa part...

La belle italienne l'observait en étant figée. Elle l'écoutait, mais ne pouvait parler. Les mots de ben lui était encore plus pénible à entendre. Son cœur, qui était déjà brisée par le décès de sa sœur, l'était encore plus sous ses mots. Lui donnant alors l'impression qu'il pouvait cesser de battre à tout moment. Cela lui en était que plus douloureux. Elena avait l'impression que cette histoire n'était qu'un mauvais rêve dans lequel, Ben allait la réveiller d'un tendre baiser. Mais ce fut en vain ! Sa douleur était à présent devenu insupportable. Pourtant, Elena ne pouvait s'empêcher de ce les redirent encore et encore. Ne pouvant y croire. Ne voulant y croire. Elle lui avait dit qu'elle l'aimait. Mots dont il était très rare de l'entendre de sa bouche et qui ne fut pas réciproque. Mais elle venait également de détruire sa relation avec lui, le perdant à tout jamais. Elle le savait. Il n'y avait aucun retour possible. Elena le lâcha pourtant pas du regard, vouant alors en lui naître une certaine incompréhension. Mais également une détresse. Cela lui fit encore un peu plus mal. Elena le connaissait et c'était le genre de sentiments, qu'il ne pouvait cacher. Même à elle. Mais elle ne resta stoïque. L'italienne ne pouvait lui pardonner cette fois-ci. C'était trop facile. Trop simple. Elena n'était pas le genre de femme à pardonner si facilement de l'avoir blessée. Ses amis le savaient, ceux qui en avaient déjà fait les frais ne le savaient que trop bien. Elle était beaucoup trop rancunière pour cela. De ce fait, Benjamin allait devoir tout donner pour la ravoir dans sa vie s'il la voulait vraiment. Ses larmes continuaient à couler sur son visage, mais se mordit la lèvre pour se contenir. Se sentant tellement faible en cet instant. Cela en était encore plus douloureux pour la belle italienne. Elle qui n'avait jamais été du genre à pleurer en public. Elle essuya doucement ses joues, l'observant avec un regard qu'il n'avait encore jamais vu. Celui-ci se voulant être beaucoup plus sombre et froid. Redevenant durant quelques instants la femme qu'elle était, quand il n'était pas à ses côtés. « Tu ne comprends pas... C'est tout ce que tu as à me dire Ben ? Un simple je ne comprends pas.. » dit-elle d'une petite voix désagréable. Elle n'aimait pas lui parler ainsi, mais que pouvait-elle fait d'autre... Elle soupire longuement durant quelque instant afin de reprendre son calme. « Arrête de te voiler la face Ben... Tu es plus intelligent que cela pour ne pas comprendre, lorsque je t'ai dit... » Elle s'interrompit quelques instants pour essuyer ses larmes. « Je t'aime ! » dit-elle d'une voix basse.

Elle l'écoute attentivement en sentant la colère, la rongée. Le mal était fait. C'était une fait. Néanmoins, Elena l'observa quelques instants en gardant un semblant de calme en elle. Ce dont elle n'était aucunement. Bouillonnant de l'intérieur, mais n'osant pas lui montrer cette partie d'elle à Ben. « Si tu savais Ben ! Si tu savais à quel point j'aimerais rester à tes côtés. À t'embrasser, te caresser, te parler où encore à me blottir contre toi... Tu ne me le demanderais pas ! Tu n'aurais même pas cette question à te poser. Mais tu ne me retiens pas. Tu restes juste planter là. En étant ahuri de la situation et après tu oses me dire, que tu ne me comprends pas. Tu oses me demander si je veux rentrer chez moi. Mais remets toi sérieusement en quelques secondes en question bordel ! » dit-elle en lui parlant avec une intonation légèrement élevé. S'arrêtant seulement à quelques centimètres de lui.

Elena s'arrêta net lorsqu'il lui dit : « Quel est le problème, je peux savoir ? ». Il ose sérieusement lui dire ça, à elle, après ce qu'il a osé lui faire ? C'était beaucoup trop facile de lui faire du mal, de lui poser toutes ses questions qui n'ont pas grand sens à ses yeux. Elle a beau être courageuse, le respecter et l'aimer, elle ne peut tolérer plus longtemps son comportement. Cela en est trop pour elle, alors, dans un geste incontrôlé et irréfléchis de sa part... La brune le gifle si violemment, que cela lui en fit mal à la main. « Le problème c'est toi et ton comportement ! Ne fais pas comme si tout était de ma faute ! C'est toi qui m'a dit, je t'aime en premier ! C'est toi qui joue avec mes sentiments ! Alors, ne fait pas comme si c'était de ma faute ! Car si tu as quelqu'un à blâmer c'est toi ! Maintenant réfléchis bien à tout cela et reviens me voir quand tu auras répondu à toutes tes questions, qui te fait être la personne que tu es actuellement... L'homme que je ne reconnais plus et, que j'aime pourtant éperdument ! » dit-elle en l'observant une dernière fois avant de quitter ce lieu le plus rapidement possible et sans même se retournée...


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MessageSujet: Re: Be my cocaine, be my rehab   Be my cocaine, be my rehab - Page 2 EmptySam 19 Mai - 5:55

NOTE:



Be my cocaine, be my rehab


À quoi avais-tu pensé? Sur le coup, tu t’en voulais énormément. Les mots étaient faibles pour décrire comment tu te sentais vis-à-vis d’elle. Tu te sentais con. Tu avais fait fi des règles toi-même, sans crier gare. Tu ne pouvais qu’en vouloir à toi. Toi-même tu en as été surpris au point tel que tu en es toujours ébranlé. Tu avais ton cœur qui battait à tout rompre, se fracassant violemment contre ta cage thoracique à chaque battement. Tu étais là, figé, complètement démuni par la tournure des événements. Tu ne savais plus quoi dire, comment agir. Tu avais ce sentiment d’avoir tout détruit entre vous. Tu sentais ce vide se creuser entre vous, cette distance s’agrandir davantage à chaque seconde pendant que tu cherchais les mots. Tu avais beau donner l’impression d’être calme de l’extérieur, il en était tout autrement au fond de toi. Tu avais toutes tes pensées qui se heurtaient une par une dans ta tête. Ton estomac qui se nouait si fort que tu avais l’impression de plier en deux. Ça s’était passé beaucoup trop vite pour que tu puisses tout saisir. La preuve, ces mots étaient sortis de ta bouche si vite que tu n’avais pas eu le temps de les retenir à temps. Tu n’avais peut-être pas prononcé toutes les syllabes interdites, mais le mal avait été fait. Tu t’en étais rendu compte, mais tu avais cru pouvoir t’en sauver. Il était trop tard. C’était te tromper. Elle avait compris ce que tu avais prononcé dans l’élan du moment malgré toi. Elle semblait avoir accepter ces mots que tu t’étais refuser de prononcer. Et puis tu lui avais rapidement retirer en posant une question qui n’avait pas eu lieu d’être. Tu l’avais blessé, elle, la seule fille que tu ne désirais pas faire pleurer. Tu avais échoué. Salaud. Sa réaction t’avait alors frappé comme un bulldozer et ses larmes qui s’en était suivit t’avais percé le cœur. Encore une fois, tu n’y comprenais rien. Et tout ce que tu trouvais à dire était que tu ne comprenais pas. Pose-tes question à ton cœur et non à ta tête. Ouvre tes yeux et fait enfin face à la réalité, car cette fille, oui, tu l’aimes! Mais tu es borné, tu te refuses de l’admettre. C’est impossible. Pire encore, c’est que l’une des raisons pour laquelle tu t’y refuses c’est que tu ne veux pas la blesser. C’est pourtant déjà fait, alors ou est le problème? Pourquoi ne peux-tu donc alors l’aimer? La retenir, la serrer contre toi et le lui dire : je t’aime Elena!

Tu te refuses d’abandonner ton mode de vie, de te dévouer à quelqu’un de cette manière. Tu ne t’en sens pas capable et tu sais qu’elle mérite mieux que toi. Tu ne penses pas l’aimer, pas comme ça du moins. En fait, tu ne sais pas, tu ne sais rien. Tu l’écoutes alors sans rien dire. Tu gardes le silence, parce que tu es mal à l’aise, mais aussi parce que cette situation te dépasse. L’ambiance te dérange, tu désires partir, mais tu restes. Tu ne peux pas lui faire ça, tu t’y refuses. Tu en as déjà suffisamment fait. Elle perd son sang-froid et ce ton qu’elle utilise avec toi, tu ne lui connais pas. Du moins, jamais elle ne l’avait utilisé avec toi. C’est sérieux et tu t’en rends bien compte. Pourtant, tu sens la colère monter peu à peu. Ton sang bouille dans tes veines, tu as chaud. Elle te reproche ton comportement, tu t’en rends compte. Tu sais qu’elle a raison, mais tu refuses de l’admettre. En fait, tu refuses de vivre cet instant avec elle, car maintenant cela vient de changer l’état de votre relation. Tu détestes les sermons à ton égard. Tu es toujours convaincu de n’avoir rien fait de mal, mais une partie de toi sais ce que tu as fait. C’est alors que tu les entends de sa bouche, ce fameux je t’aime. Parce que oui, elle t’aime. C’est ce qu’elle s’efforce de te faire comprendre pendant que toi, tu restes toujours planter là à ne rien faire. Que comptes-tu faire Benjamin? Tu es sous le choc, sonné. Tu viens de recevoir un coup de pelle en plein visage ou alors tu viens de te faire renverser par un bus. Si pour certain, entendre ces mots avaient tendance de leur apporter ce sentiment de légèreté, il en est tout autre pour toi. Tu croules sous le poids de ces paroles, tu le sens. Tu t’écrases de l’intérieur. Tu sens cette pression soudaine qui t’étouffes. Tu te sens trahie tout d’un coup. Trahi par ces mots que tu as eu la maladresse de perdre, mais aussi par elle qui te les répète. Elle n’a pas le droit, c’était écrit; vous aviez une entente. Mais elle n’en a pas pour autant fini. Elle renchérit de plus belle et tu reçois les coups de ses mots sur ta personne. Tu ne pensais pas que cela puisse être aussi douloureux. « Tu restes juste planter là. » qu’elle te dit. Mais elle ne comprend pas. Elle ne peut pas comprendre. Tu ne peux juste pas accepter. Tu veux la garder pour toi seul, toi aussi tu veux pouvoir l’étreindre, l’embrasser et continuer à être à ses côtés, mais ça… c’était impossible.

Ses paroles sont des gifles pour toi. Pourtant, ce n’est rien vis-à-vis de celle que tu reçois réellement sur le coup. Tu sens sa main bien comme il faut. Elle ne t’a pas manqué. Et comme promis, tu n’avais pas cherché à t’en sauver. Car oui, tu aurais pu. Tu l’avais cernée, tu avais repéré l’élan de sa main. Or, tu aurais pu retenir cette dernière ou simplement reculer d’un pas au bon moment, mais non. Tu étais resté planter là, comme elle disait, et tu avais accepté ton sort. Tu l’avais mérité selon toi. Tu étais d’accord pour qu’elle te frappe. Tu en avais besoin. Non pas seulement pour te punir, mais aussi pour te remettre les idées en place. Tu sens toujours la sensation violente et douloureuse de sa main contre ta joue, Ta tête avait suivit le mouvement et tu étais resté là, au point d’arrivée. Tu fixais le sol de ce bureau qui t’étouffais. Tu manquais d’oxygène, tu avais besoin de prendre l’air. En fait, tu ne savais plus trop ce que tu avais de besoin. Tu bouillais de rage, mais tu étais répartie entre ta peine que tu n’arrivais pas à expliquer et ce sentiment d’impuissance. Pourtant, tu frappes un mur. Elle a raison. Tout ce qu’elle dit, oui, elle a entièrement raison. C’est toi qui le lui a dit en premier. C’est toi qui t’es mis dans ce pétrin tout seul. Mais ce que tu assimiles à moitié, c’est qu’elle t’aime depuis un moment déjà… Et tu n’avais rien vu, rien remarquer parce que tu étais bien trop aveugle à ne penser qu’à ta petite personne. Puis elle quitte les lieux sans se retournée. Ton cœur s’arrête. Ton estomac fait deux tours. Tu en a mal à la tête à force. Tu n’arrives plus à penser. Tout ce que tu sais, c’est que tu sens cette douleur et sensation horrible au niveau de l’abdomen. Tu as l’impression qu’on t’a achevé. Tu restes donc immobile, malgré que tu l’aies suivi du regard disparaitre par la porte. Dois-tu la rattraper ou la laisser partir? Tu te sens diviser, car derrière ton mutisme et ta peine, tu es furieux.

Elle n’avait pas le droit de tourner ça contre toi de cette façon. Elle aurait tout aussi bien pu faire semblant de ne pas avoir entendu et tout se serait bien passé. Il avait fallu qu’elle avoue… Maintenant, c’était impossible que tout redevienne comme avant, mais tu te devais de la rattraper. Tu étais certes furieux, mais tu tenais à elle. Tu te lanças alors dans le corridor, repassant par le même chemin que vous aviez emprunté pour en arriver là tous les eux.  Elle avait déjà pris de l’avance, mais tu aurais pu la reconnaître parmi toutes les foules. Elle marchait vite, il te fallu te faufiler au travers des inconnus en t’excusant brièvement. « Elena ! » tu criais son nom, mais elle ne s’arrêtait pas et ne se retournait pas non plus. Tu accéléras la cadence, courant lorsque tu pouvais, question de réduire la distance entre vous. « Arrête, Elena! » Tu réussis à l’agripper par le bras, la forçant à s’arrêter. Tu aurais voulu la serrer dans tes bras à cet instant, l’embrasser et te dire que tout allait bien malgré tout. Mais tu savais que c’était impossible. Tu ne désirais pas recevoir une seconde gifle de sa part. Pourtant, tu ressentais ce besoin si fort qu’elle te sourit une dernière fois. Tu désirais son étreinte pour te rassurer. Tu ne voulais pas la perdre et à cette idée, tu tremblais de peur. « Je sais que c’est impossible, que j'en demande peut-être trop… mais ne pars pas, s’il-te-plaît. » Ta gorge était nouée et ta voix tremblante. Tu avais perdu cette assurance habituellement qui t’était propre. Tu étais terrifié de dire quelque chose qui te nuirait davantage. Mais tu ne pouvais pas lui dire ce qu’elle désirait entendre… Et pourtant, tu ne pouvais te permettre de la laisser partir ainsi. « Allons ailleurs si tu veux, j’sais pas… En parler, n’importe quoi, mais reste je t’en prie. » Tu avais des impressions de déjà vu, mais voilà que semblait avoir changer de rôle. Tu étais là à la supplier de rester. Tu connaissais déjà cette scène par cœur, mais tu étais habituellement celui qui partait le premier. Tu étais désemparé. Ces mots te démangeaient au fond de ta gorge, mais tu résistais. Non, c’était impossible. C'est alors que laisse échapper tout bas:  « Je ne veux pas... je ne peux pas te perdre. »



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MessageSujet: Re: Be my cocaine, be my rehab   Be my cocaine, be my rehab - Page 2 EmptyLun 21 Mai - 23:10

♛ You and me

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Tu lui dis ce que tu as sur le cœur, sans aucune retenu. Tu en es pas très fière, bien au contraire. Toi, qui t'était promis de ne jamais lui montrer ce côté sombre en toi. Tu en avais peur et honte à la fois. Mais que pouvais-tu faire d'autre ? Restée une femme impassible, alors, qu'on te brisait le cœur ? Impossible ! Tu n'es pas non plus de celle à te taire où à te laisser faire. Affrontant chacun de tes problèmes têtes baissée, cela en a toujours été ainsi. Cela l'est encore aujourd'hui, surtout avec lui. Si seulement, il savait à quel point tu aurais été capable de tout par amour, pour lui. De cessée ta toxicomanie en te faisant aider, de dealer où encore de mettre ton passé derrière toi, pour n'être rien qu'à lui. Mais l'homme dont tu es follement amoureuse se refuse à toi. À croire, que tu n'es pas assez bien pour lui. Tu as tes défauts, un passé des plus compliqués et un côté sombre en toi. C'est un fait et tu ne peux le nier. Tu n'es pas non plus parfaite, mais tu es prête à tout pour le mériter. Tu n'es peut-être qu'une simple distraction, pour lui ? Une échappatoire entre plusieurs conquêtes d'un soir ? À moins, que tu ne sois simplement qu'un bon coup pour lui, ce qui explique pourquoi est-ce qu'il te revient souvent ? Tu ne vas pas dire le contraire sur ce point, tu ne le sais que trop bien. Mais, tu es avant tout un être humain ayant un cœur et des sentiments, ce dont il semble avoir oublié. Tu ne peux qu'être en colère de sa façon de sa façon, de se comporter avec toi. Des agissements, qui te donne encore un peu plus envie de sombrer dans les ténèbres. Emportant ton âme avec elle. N'ayant plus aucune raison de combattre ton autodestruction. Car, Benjamin était le seul à t'empêcher de sombrer. Le seul à te rendre heureuse et sachant te faire revivre, durant quelques instants. Il fut ton soleil, ton espoir, ton tout. Mais tout cela c'était envolé en un claquement de doigts, malgré toi.

A présent, tu ne peux que te demander a quoi bon vivre sur cette terre si ce n'est pour souffrir continuellement. Si ce n'est pour aimer un homme à t'en déchirer le cœur en sachant, que tu n'auras jamais cette place de choix dans le sien. Cette situation te fais souffrir. Tu veux te détruire. Ton envie pour la cocaïne, se fait ressentir. Tu trembles. Tu as du mal à contrôler tes humeurs et ce que Benjamin t'as fais ne t'aide en rien. Il est même le premier à en faire les frais. Ce que tu regrettes dans un certain sens. Après tout, il fut le premier à t'en avoir fait. Il t'importe également peu de lui montrer le côté sombre, qui sommeille en toi depuis deux ans. Cela ne t'es plus d'aucune importance, maintenant. Tu alors cette soudaine envie de voir ton ami Jules, pour lui acheter sa drogue. Mais aussi pour pleurer dans ses bras et lui raconter le mal, qui te ronge. Tes pensées sont ensuite peu à peu envahit par de noir, que tu essaies de chasser. Tu respires profondément en l'observant, puis en posant ton regard sur cette pièce. Lieux dans lequel tu t'es livrée à Benjamin... Avant qu'il ne te prenne ton âme en te faisant mal. Tout ceci t'es particulièrement douloureux. Mais tu restes plantée là à l'observer. Répondant à ses questions, qu'il te pose et qui n'ont aucun sens à tes yeux.

Tu te demandes alors, ce qu'il en advient de ta relation avec lui. Tu te demandes quoi faire et que faire, durant les quelques instants où tu ne lui parles pas. Quand tu ne lui cris pas dessus. Cela te fait mal. Tu te sens terriblement conne de lui parler de la sorte, alors, que tu as toujours eu du respect pour lui. Mais tu as aussi cette envie de le secouer et de le gifler, en laissant peu à peu ta colère t'envahir. Voulant qu'il réfléchisse à ce qu'il faisait de votre liaison où relation, peu importe comme il l'appelait. Car il avait foutu en l'air votre relation et non toi ! Il t'avait dit en premier, je t'aime ! Mais tu ne le lui aurait jamais dit s'il ne te l'avait pas dit, non plus. Tu es ainsi. Cachant et gardant au plus profond de toi tes sentiments, pour ne blesser personne. Ce qui ne fut pas son cas ! Non... Ben, c'était simplement contenté de te balancer son « je t...» au visage avant de te le reprendre aussi subitement soit-il. Quel être humain pouvait-il faire espérer avant de te briser ainsi ? Comme si c'était un jeu de briser le cœur des gens... Mais le pire, c'est qu'il osait te reprocher d'être ainsi à son égard. Ce qui te met un peu plus en colère. Tu ne peux t'empêcher de lui mettre cette violente claque bien méritée avant de partir à toute vitesse dans le corridor, en mettant ta veste.

Tu ne veux plus le voir. Tu ne veux plus lui parler Tu n'attends désormais plus rien de ta relation avec lui ! Cela en est fini ! Tout est fini ! Tu ne le désirais pas au fond de toi, pas maintenant, pas comme ça... Mais, tu sais qu'il te faudra désormais énormément de temps pour que ta colère et ta peine, ne s'estompe à tout jamais. Tu as également conscience qu'un long chemin se présente devant toi avant de pouvoir lui parler à nouveau et que ne puisse, lui pardonner. Rancunière comme tu es. C'est le prix à payer pour le mal qu'il venait de te faire. À moins, qu'il n'implore ton pardon. Tu peux être cool par bien des manières, sauf, lorsqu'il s'agit de te faire du mal. Tu ne le supportes pas. Tu as bien trop souffert tout au long de ta vie et pourtant, c'est ce que tu vis en cet instant. En étant à la fois en colère contre lui, toi, cette situation et ton manque de cocaïne n'aidait en rien à arranger les choses. Tu ne peux alors t'empêcher de laisser couler de nouveau les larmes sur ton joli visage. Cherchant à fuir du regard les personnes, que tu croises. Quand tu l'entends soudainement au loin, t'appelant par ton prénom. Tu ne te retournes pas. Tu ne veux pas lui parler et qu'il te voie sur les nerfs. Cela ne te ressemble pas. Il ne t'a jamais vu dans cet état et tu ne veux pas, qu'il te voie dans ce piteux état. Tu ne voulais pas qu'il voie à quel point tu étais faible. Tu accélères alors le pas de tes foulées pour le fuir et disparaître dans la nuit. Pourtant, une part de toi désirait être prise dans ses bras. Il te dit quelques instants plus tard de t'arrêter en t'attrapant pas le bras, tu te débats. Tu ne veux pas qu'il te touche. C'est trop facile ainsi ! Ton cœur se serre alors un peu plus fort, finissant finalement par t'arrêter. Tu as beau être sportive, tu n'es rien face à la force qu'il a en toi. Tu le sais. Tu passes doucement tes mains sur tes joues, pour chasser les larmes qui y avaient coulées.

Tu te retournes ensuite doucement en l'observant avec des yeux noir, même, si ceux-ci cache en réalité une profonde tristesse. Tu serres doucement les poings, pour ne pas craquer devant lui. Attendant qu'il te dise quelques choses. « Laisse-moi ! » Dis-tu en reculant d'un pas. «C'est trop facile de me dire ça ! Tu m'as brisé le cœur, Ben ! Tu ne peux pas dire à une femme que tu l'aimes et la repousser de la sorte, par la suite... Tu n'as donc aucun cœur ? » Dis-tu en serrant un peu plus fort tes poings. « Je ne te pensais pas ainsi... C'est à croire, qu'un ne connait jamais aussi bien une personne, qu'on ne le pense !  » Dis-tu en essayant de rester calme, même, si on pouvait ressentir une légère variation de volume dans tes paroles. « Alors, non.. On ne peut pas aller en parler ailleurs ! » Tu t'interromps quelques instants avec de faire trois pas vers lui. « Tu sais quoi... Oublie-moi ! Je ne suis rien pour toi si ce n'est qu'un bon coup, je l'ai bien compris... Mais ce n'est plus ce que je désire... » Dis-tu en sanglotant. Tu essuies doucement les larmes coulant sur tes joues. L'observant à nouveau et remarquant, qu'il n'avait plus cette assurance qui lui était propre. Tu l'écoutes à nouveau parler, te dire tout bas ses mots, qui te faisait un peu plus mal encore... « Tu ne veux pas.. » tu t'arrêtes de parler pour laisser échapper un sanglot. « Pourtant, tu m'as déjà perdu... A l'instant où tu m'as fait mal de la sorte... Et le pire dans tout ça,...C'est que j'aurais été capable de tout par amour pour toi... Je t'aurais tout donnée...tout... » dis-tu en le regardant dans les yeux, laissant un flot de larmes s'abattre sur tes joues.



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Dernière édition par Elena Di Mascio le Jeu 24 Mai - 23:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Be my cocaine, be my rehab   Be my cocaine, be my rehab - Page 2 EmptyMar 22 Mai - 0:45



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Tu cherches à la retenir, mais la voilà qui se débat et cherche à te glisser entre les doigts. Tu cherches à ce qu’elle reste près de toi, mais elle ne l’entend pas de la même façon. Tu t’en veux tellement de lui faire subir cela, mais tu n’as pas le choix. Tu ne peux pas te permettre de l’aimer parce que tu ne sais même pas si tu en es capable. Tu ne désires pas la blesser davantage. Et pourtant, c’était ce que tu faisais en ce moment. Tu ne t’étais pas douté un instant de l’ampleur que la situation allait prendre. En fait, tu ne te serais jamais douté que vous pouviez en arriver là. Tu encaisses tout ce qu’elle peut avoir à te dire; tous ces coups de couteaux qui te percent le cœur. Plus elle parle et plus tu t’en veux, mais plus tu sens cette rage naître en toi. Tu veux bien prendre sur toi, tu veux bien admettre tout tes tords, mais elle en mettait trop. Pourtant tu n’arrives pas à lui en vouloir. Tu n’arrives pas à ressentir ce besoin ou cette envie de réagir de la même façon qu’elle ne le fait envers toi. Non, tu préfèrerais pouvoir la serrer dans tes bras, lui caresser les cheveux, la calmer… Lui dire que ce n’est pas elle le problème, mais que c’est toi. Mais tu n’aimes pas ce cliché qui ne veut rien dire. Alors tu ne fais rien. Tu lui tiens toujours le bras, mais elle réussit à se défaire de toi. Elle te crie dessus et tu te doutes que vous êtes en train de faire une scène en plein milieu de la discothèque. Alors tu lui prends le bras à nouveau et l’entraîne à l’extérieur, un peu plus loin dans le stationnement, à l’abri des regards. Maintenant elle peut continuer à t’accuser d’avoir fait éclater en mille morceaux ce que vous aviez entre vous. Et ce, malgré que tu lui ais fait part que tu ne voulais pas la perdre. Tu en demandais clairement trop. Puis, tu l’avais déjà perdue qu’elle te disait. Tu serrais des poings, faisant un effort surhumain pour ne pas frapper une des voitures près de vous. Ses paroles te heurtaient et te frustraient. Elle parlait comme si tu avais été idiot, voire comme si tu avais fait exprès de la blesser. Tu n’avais rien fait, en dehors d’être aveugle tout ce temps.

« J’ai gaffé, j’aurais pas dû… et tu le sais ça! Je n’avais pas le droit, t’avais pas le droit non plus! Tu le savais déjà que c’était impossible… Que je t’aime ou non, qu’est-ce que ça change? Pourquoi tu les as répétés ces mots, Lena, pourquoi? Pourquoi y a fallu que tu les répètes ! » Tu hausses enfin le ton toi aussi. Tu prononces ces mots comme si chacun t’était douloureux; chose qu’ils étaient. Tu projettes ton regard dans le sien, plein de larmes. Elle pleure et c’est de ta faute. Mais tu lui en veux toi aussi. Parce que certes, tu avais outre passer les limites, mais elle t’avais suivis tête baissée. « J’ai tout gâché tu dis? J’ai même pas terminé de les prononcer ces putains de mots, que je sache! Je me suis repris avant de justement en arriver là. Comment t’as pu seulement en déduire que c’était ce que je voulais dire? Pourquoi t’as juste pas pu les ignorer? Hein, pourquoi? » Tu avais la rage en toi. Si elle pouvait t’accuser d’avoir brisé son cœur malgré toi, elle s’était nuit tout seulement pour ce qui était du reste. Tu n’avais pas complété ces mots, mais il avait fallu qu’elle saute aux conclusions, qu’elle en rajoute. Tu n’étais pas le seul fautif au final. Vous étiez deux, mais il y avait fallu qu’elle s’emballe. Comme toutes les autres. Tu ne savais plus ce qui faisait le plus mal : qu’elle ne veuille plus de toi ou bien qu’elle agisse comme toutes les filles précédentes. Elena devait être spéciale, unique. C’était ce qui était bien avec la relation que vous aviez. Alors tu renchéries. Ton ton n’a pas changé. « Qu’est-ce que j’ai de si spécial pour que tu m’aimes de la sorte? J’ai rien de spécial, pas plus qu’un autre. J’ai été qu’un plan cul tout ce temps, c’était là l’idée de départ ! Et tu le sais ! »

Elle ne voulait plus rien savoir de toi. C’était ses dires. C’était elle qui te jetais la première. Tu l’avais peut-être cherché, mais tu n’étais pas capable de le concevoir. Tu ne désirais pas qu’elle parte. Tu avais ce désir égoïste de la garder pour toi et toi seule, bien que tu refusasses de lui donner ce qu’elle désire. Puis, il devait être trop tard. Tu ne pouvais pas revenir sur ta décision, retourner ta chemise et lui promettre un amour infini et absolu. Déjà, tu étais perdu. Tu n’étais même pas capable d’interprétés tes sentiments en ce même moment. Tu ne comprenais même pas pourquoi tu étais aussi désespéré qu’elle te quitte. Pouvais-tu seulement utiliser ce terme puisque vous n’étiez même pas ensemble? « Justement pour ça qui avait des règles… Des fichues règles et on était tout les deux d’accord! Pour que personne ne soit blessé! Mais non, y a fallu que tu te convainques que tu m’aimes? Je ne comprends pas, Lena! Pourquoi t’aimes un gars comme moi? J’arrive pas à me poser à un seul endroit! C’est pas moi! » Tu soupires, puis tu cherches à prendre une profonde respiration. Tu ne revenais pas de ce que tu allais dire, mais tu devais te rendre à l’évidence. Elle n’avait pas besoin de te le répéter. C’était terminé. « J’ai compris… Je suis désolé, vraiment. » Tu reculas de quelques pas, puis tu tournas les talons. T’en avais assez eu. Tu ne comprenais déjà pas pourquoi tu avais les larmes qui te montaient aux yeux et la gorge nouée. Il valait mieux t’en aller. Et c’est ce que tu fis… Tu t’en allas, la laissant là.



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MessageSujet: Re: Be my cocaine, be my rehab   Be my cocaine, be my rehab - Page 2 EmptyJeu 24 Mai - 23:41

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Tu sais que tu ne peux forcer à t'aimer de la façon, que tu ne le voudrais. Tu sais que tu ne peux passer outre son manque de sentiments à ton égard, pour qu'il devienne ton ami. Mais, tu ne peux pas le concevoir actuellement. C'est trop dur. Trop douloureux. Trop récent. Trop éprouvant pour tes nerfs. Pourtant, tu t'en voulais d'agir de la sorte et de le faire souffrir. Ce n'était pas n'importe qui, à tes yeux, même, s'il ne t'aimait pas comme tu l'aurais voulu. Alors, pourquoi le faire souffrir comme ça ? Car oui... C'est ce que tu es en train de faire en ce moment même. Tu t'en rendais bien compte. Tu n'étais pas si bête après tout. Mais c'était plus fort que toi. Il fallait que ses mots blessants ne sortent de ta bouche. Il fallait que tu sois égoïste et que tu ne penses qu'à toi, même, si tu t'en voulais pour cela. Et en même temps, tu ne pouvais que lui en vouloir. Pourquoi avait-il ces mots s'il ne le pensait pas ? Pourquoi est-ce que toi tu le lui avais dit ? Pourquoi est-ce que tu n'avais pas gardée ce que tu ressentais pour lui bien au fond de toi ? Tant de questions auxquelles tu ne trouvais aucune réponse. Ce n'était ni le lieu, ni le moment pour cela. Tu restes alors plantée-là à déverser les flots de ta colère, alors, qu'il t'aurait tout simplement suffi de te taire et de partir. Tu aurais dû. Tu le savais et tu te sentais bien trop conne d'être restée-là. Même, si tu n'étais pas le genre de personne à fuir tout affrontement où événements difficile. Tu le savais également. Est-ce que tu aurais dû lui parler autrement en employant plus de tact ? Évidemment ! Mais le mal était fait et tu ne pouvais revenir en arrière. Tu devais assumer ton fort caractère. Ton impulsivité, ta franchise où encore le fait que tu ne prennes jamais de gants, lorsque tu avais quelques choses sur le cœur. À présent, tu devais assumer tes actes et ce peu importe le prix, que tu allais devoir payer. À tes yeux tu l'avais déjà perdu et le mal commençait déjà à te ronger de l'intérieur. Tu le ressentais, comme si on te mettait de nombreux coups de couteaux dans le cœur. On aurait peut-être dût le faire d'ailleurs. La douleur aurait été tellement faible comparée à ce que tu étais en train de vivre et tu savais, que le pire te restait à venir... Le pire allait être sa réaction lorsque tu allais enfin finir de parler et l'après. Car tu te rendais bien compte que plus rien n'allait être pareille. Tu savais aussi que tu risquais à tout jamais de le perdre et que tu ne pourrais cette fois-ci rien faire, pour cela. Néanmoins, tu ne pouvais t'empêcher d'être en colère contre lui. Pourquoi restait-il planté-là à te tenir le bras ? Lui qui avait pourtant un très fort caractère. Vous n'étiez pas si différent à ce sujet. Mais il ne faisait rien. Quant aux personnes qui se trouvent auprès de toi, tu ne les calculs pas. Tu t'en fiches. Ce n'est pas eux qui compte à tes yeux. C'est Benjamin. Mais voilà qu'il te prend le bras et t'entraîne à l'extérieur, un peu plus loin dans le stationnement, à l'abri des regards. Tu le laisses faire. Tu n'as pas d'autre choix de toute manière. Il est beaucoup trop fort pour toi. Tes mots furent alors plus violent et dit sur le coup de ta putain d'impulsivité. Car oui, tu l'étais et tu ne peux le nier. Tu savais que c'était un point sur lequel tu allais devoir travailler. Un point parmi tant d'autre au vu de tes nombreux problèmes. Tu le vit alors serrer les poings lorsque tu lui ais dit, qu'il t'avait perdu. Mots que tu ne pensais pas non plus et qui fut dit sous le coup de ta colère, de ta frustration et de ta peine. Mais le fait qu'il se serre les poings, ne peut que te faire du mal. Tu ne l'avais encore jamais vu serrer les poings avec toi et c'est là, que tu remarques à quel point il était également en colère. Cela te faisait mal de le voir ainsi. Mais tu ne pouvais qu'en prendre qu'à toi-même. Entre tes paroles prononcée, tu ne pouvais que te dire à quel point tu étais conne d'agir ainsi.

Tu l'écoutes te parler, en plongeant ton regard dans le siens. Tu ne faisais que pleurée, mais tu ne pouvais que t'en prendre à toi-même. Qu'est-ce qui t'as pris d'agir de la sorte ? Alors que cette soirée avait si bien commencer. Tu aurais voulu partir en prenant tes jambes à ton coup, mais tu ne fis rien. Tu restes là à l'écouter te dire ses mots qui te font si mal au cœur. Car oui... Benjamin te blessait, comme il ne l'avait encore jamais fait jusque-là. À ses mots, tu avais l'impression que ton cœur allait exploser à tel point cela te faisait mal de l'entendre de sa bouche. Et pourtant, tu ne peux t'empêcher de répliquer. « Je le sais... On ne choisit pas de qui l'on aime, Benjamin ! Et si cela aurait été quelqu'un d'autre pour lequel mon cœur aurait battu la chamade rien qu'en étant à ses côtés... Es-tu es sûr que cela ne t'aurait pas touché ? Es-tu sûr que tu n'aurais pas eu mal au cœur, que je n'en aime un autre ? Réfléchis... » Dis-tu d'une voix, plus où moins calme. Tu marques une courte pause pour te rapprocher un peu plus de lui. «  Cela change toute la donne. Ne rêve tu pas de goûter au bonheur à mes côtés ? Ne rêves-tu pas de parcourir un bout de chemin avec moi ? Ne rêves-tu pas de te réveiller tous les jours en m'ayant dans tes bras ? Cela change toute la donne. Mais il n'y a que toi, qui peut répondre à ses questions. » Tu passes tes mains sur tes joues. « Je ne peux pas te forcer à m'aimer et ce n'est pas ce que je te demande. Ce serait égoïste de ma part. Mais, tu ne peux pas non plus me forcer à ne plus t'aimer. C'est ainsi et cela le restera à jamais, même, si je dois passer ma vie à souffrir du fait que tu ne m'aimes pas ! » dis-tu calmement en laissant les larmes inonder de plus belle, ton joli visage. Mais tu ne le quitte pas pour autant des yeux.

Tu l'écoutes à nouveau en serrant doucement tes poings. Tu ne le fais pas sur le coup de la colère, mais de la tristesse qui te submerge encore un peu plus. « Tu as raison...C'est moi qui ai tout gâchée. C'est ce que tu voulais entendre n'est-ce pas ? Et bien te voilà heureux. Tu n'as peut-être pas terminé tes mots... Mais ton corps et tes regards parlent d'eux-mêmes. Tu es juste simplement trop borner pour ne pas les voir ! Simplement parce que tout me portais à croire que c'était le cas... Je le voulais aussi tellement, que cela soit le cas. Mais tu as raison. Je suis loin d'être la femme qu'il te faut. Je ne suis pas parfaite. Tu ne connais pas ma vie. Tu ne sais rien de moi. Tu ne sais pas comment est-ce que je suis, lorsque tu n'es pas là.... Alors, tu as raison.Je n'aurais jamais de dût te le dire... J'aurais dû me contenter de le pensé, de le ressentir et de souffrir. Cela m'aurait évitée que tu ne souffres... » dis-tu en baissant doucement la tête. Cherchant à te fuir du regard. « Ce que tu as de si spécial, pour que je t'aime de la sorte.. Tu es celui qui me donne la force de me battre pour rester en vie, alors, que tout me pousse à y mettre fin ! Tu es celui qui me pousse à changer pour redevenir la femme, que j'étais il y a deux ans de cela... Tu es celui qui me redonne de l'espoir en la vie, qui me fait revivre et qui me rend tellement heureuse, quand je me trouve à tes côtés... Tu es celui, qui ne me juge pas et cela peu importe ce que je peux faire.. Tu es celui qui fait battre mon cœur, qui me fait frissonner et qui me donne des papillons dans le ventre lorsque tu poses ton regard sur moi où que tu ne me touches ! Alors, arrête de dire que tu n'as rien de spécial. Tu n'as pas non plus , été qu'un plan cul durant tout ce temps même, si oui.. C'était l'idée de départ. »

Tu restes plantée-là en l'écoutant parlée. Tu voulais le prendre dans tes bras et lui dire à quel point tu étais navrée d'en être arrivée là. Mais tu ne le fis pas. Au lieu de cela, tu te contentes de l'écouter sans même prendre la peine de lui répondre. À quoi cela aurait servi que tu ne lui dises les raisons pour lesquels, tu aimais un gars comme lui... Cela n'aurait servi à rien dans la mesure où il t'avait bien fait comprendre à quel point, il ne t'aimait pas. Tu ne pouvais d'ailleurs t'empêcher de pleurer à l'idée de le perdre. C'est ce qui te faisait le plus mal. Mais c'est ce qui était pourtant en train de se produire, uniquement par ta faute et par tes mots prononcés. Tu l'observes malgré cette pluie de larmes, qui coule sur tes joues transit par le froid. Tu te figes à ses mots : « J'ai compris... Je suis désolé, vraiment... » Tu voulais le retenir, lui crier son nom, lui dire de rester là et à quel point tu étais désolée, mais tu ne le pouvais pas. Tu n'arrivais plus à parler. Tu restes inerte... Le regardant tourné les talons, alors, qu'il avait les larmes aux yeux. Ce qui te fit un peu plus de mal encore. Mais tu ne bouges pas. Tu ne peux que le regardé partir en étant submergée par la tristesse, les remords, le mal être et la détresse qui te fit tombée au sol avant d'éclater en sanglot...


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