Sujet: friendzone exist, or not (toni) Lun 14 Mai - 21:43
ton week-end n’ayant pas vraiment été des plus reposants, tu avais décidé de profiter de cette journée de libre pour te reprendre des forces afin d’être prêt à assumer l’avalanche de rendez-vous que tu avais calés cette semaine. tu avais commencé par gribouiller plusieurs croquis éparpillés sur ton bureau, puis tu as sorti et nourri le chien avant de venir prendre ton petit-déjeuner à 14h. comme tu étais incapable de tenir en place et que tu n’avais absolument rien à faire, en moins de deux tu étais déjà sur pied et prêt à ressortir pour un footing en laissant ton chiot dans la maison, car il ne pourrait pas suivre le rythme. à ce moment là tu n’aurais jamais pensé terminer la journée avec un t-shirt ensanglanté et les muscles en feu. c’est cette femme qui t’a interpellé alors que tu courrais tranquillement, elle hurlait que son mari allait la tuer. chose vraie car elle était complètement défigurée. il courrait derrière elle tant bien que de mal et comme tu l’avais approchée elle s’était réfugiée derrière toi. son porc de mari ignorait être tombé sur la mauvaise personne quand il se mit à te cribler de coup en criant également, comme si tu avais quelque chose à avoir avec tout ça ? bref. tu n’as pas tardé à lui donner une bonne leçon avant de l’immobiliser mais c’est dans la ferveur du moment qu’il t’a ouvert l’épaule d’un trait. accompagné de sa femme et de quelques personnes de bon cœur qui s’était arrêtées, tu as attendu l’arrivée de la police avant de rentrer chez toi, tout de même heureux d’avoir été là au bon moment pour rendre service à cette dame à qui tu as même laissé ton numéro… puisque les femmes sont si douées lorsqu’il s’agit de se mettre dans des situations compliquées. alors que te rhabillais après une douche bien chaude, la sonnerie retentit. étrange, il était tard et tu n’attendais pas de visite, mais bon, autant en finir. tu ouvris presque immédiatement, toujours avec un faux large sourire malgré tes milles-et-unes douleurs.
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Sujet: Re: friendzone exist, or not (toni) Jeu 17 Mai - 0:56
Friendzone exist, or not.
Ton week-end a particulièrement été mouvementée entre tes entraînements de breakdance pour la battles de la semaine prochaine, ta journée shopping avec ta cousine et ton travail au barmaid's. Mais ce soir tu as envie de passer un peu de temps avec Jon. Tu pars dans ta salle de bain où tu te douches rapidement. Tu adores sentir l'eau chaude couler sur ton corps. Tu as toujours aimée cette sensation sur ton corps. Tu sors une vingtaine de minutes plus tard. Tu prends une serviette, que tu mets autour de ta taille avant d'en prendre une autre que tu mets autour de tes cheveux. Tu quittes ensuite ta salle de bain, pour allée dans ta chambre où tu mets des sous-vêtements à dentelle de couleur blanc. Tu mets ensuite un bustier de même couleur qui va à ravir avec ta sublime peau métisse. Quant au bas, tu optes pour un pantalon en jean. Un basic, mais qui te va parfaitement en valeur. Tu quittes ensuite ta chambre pour te rendre dans ta salle d'eau afin de t'occupes de ta coiffure, puis te maquille légèrement avant de te parfumée. Une fois fin prête, tu prends ta veste en cuir noir, puis ton portable où tu mets les écouteurs dans ton oreille afin de pouvoir écouter ''Stan'' de Eminem. Tu adores ces chansons qui te refont agréablement pensée à Drake. Ton défunt premier et grand amour. Car malgré toute cette violence dans laquelle tu vivais lorsque tu étais à ses côtés, tu en gardais d'agréable souvenir passé à deux. Tu quittes ensuite la résidence des Goddard en saluant rapidement Noah, puis quitte doucement le campus de Brown. Tu marches doucement prenant le temps de sentir le vent parcourir ta peau. Une sensation des plus agréables. Finalement, tu arrives vingt minutes plus tard devant l'appartement de Jon. ''J'aurais dû lui envoyer un sms pour lui prévenir de mon arrivée.'' songes-tu en arrivant franchissant le palier, qui se trouve devant sa porte d'entrée et sonnes, après avoir enlevée les écouteurs et éteins ta musique. Tu attends quelques minutes qu'il t'ouvre la porte, le voyant torse-nu. Tu ne peux empêcher d'afficher un large sourire. « Salut, je ne te dérange pas ? »
ton week-end n’ayant pas vraiment été des plus reposants, tu avais décidé de profiter de cette journée de libre pour te reprendre des forces afin d’être prêt à assumer l’avalanche de rendez-vous que tu avais calés cette semaine. tu avais commencé par gribouiller plusieurs croquis éparpillés sur ton bureau, puis tu as sorti et nourri le chien avant de venir prendre ton petit-déjeuner à 14h. comme tu étais incapable de tenir en place et que tu n’avais absolument rien à faire, en moins de deux tu étais déjà sur pied et prêt à ressortir pour un footing en laissant ton chiot dans la maison, car il ne pourrait pas suivre le rythme. à ce moment là tu n’aurais jamais pensé terminer la journée avec un t-shirt ensanglanté et les muscles en feu. c’est cette femme qui t’a interpellé alors que tu courrais tranquillement, elle hurlait que son mari allait la tuer. chose vraie car elle était complètement défigurée. il courrait derrière elle tant bien que de mal et comme tu l’avais approchée elle s’était réfugiée derrière toi. son porc de mari ignorait être tombé sur la mauvaise personne quand il se mit à te cribler de coup en criant également, comme si tu avais quelque chose à avoir avec tout ça ? bref. tu n’as pas tardé à lui donner une bonne leçon avant de l’immobiliser mais c’est dans la ferveur du moment qu’il t’a ouvert l’épaule d’un trait. accompagné de sa femme et de quelques personnes de bon cœur qui s’était arrêtées, tu as attendu l’arrivée de la police avant de rentrer chez toi, tout de même heureux d’avoir été là au bon moment pour rendre service à cette dame à qui tu as même laissé ton numéro… puisque les femmes sont si douées lorsqu’il s’agit de se mettre dans des situations compliquées. 
